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en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant My Wonderland is shattered. It's dead to me ▬ ALICE LIDDLE
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mar 28 Oct - 16:21 | |
| Siofra Dubh Bronach Ó Cearnaigh Quiconque est parvenu à discerner le bien du mal a déjà perdu son innocence. ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤
follow the cat to wonderland On a toujours dit que tu étais très accueillante. Une excellente épouse, une très bonne femme au foyer, pâtissière hors paire. Dès qu'on entrait chez-toi, on s'y sentait comme chez-soi et les apparences primaient. Même ici, tu restes cette hôte irréprochable, cette femme bien mise, jusqu'à ce les bougies soient soufflées. Personne n'aurait cru que ça arriverait, personne n'y croit encore trop. Tu étais une femme si charmante, le genre à consoler qui n'allait pas bien, border, cajoler, soigner, gaver d'amour et de nourriture tous les gens autour de toi. Une femme apaisante, pas de celles qu'on craint et qu'on ne veut pas approcher. Douce, tendre, attachante. Personne pouvais ne pas t'aimer. Tu faisais tout avec cette passion, cet amour et ce soin de la perfection. Femme ayant tout en contrôle, rien ne t'échappais, pas même toi. Pas une once de colère ne débordait ni sur ton mari ni sur ton entourage. Ils étaient sages tes enfants. Ils t'écoutaient au doigt et à l'oeil, bien élevés, polis, sages, malgré l'embonpoids du plus jeune. Personne ne se rendait compte de qui tu étais pourtant. Personne ne comprenais le mal don tu souffrais, même pas eux, surtout pas eux. Tes enfants. Tu étais quelque peu différente avec eux. Toutes les femmes de ton époque ne l'étaient-elles pas ? Donnant des fessées lorsqu'elles étaient mérités. Pas de quoi faire un drame. Pourtant ils étaient beaux tes enfants, plus ils grandissaient et plus ils l'étaient. Plus ils vieillissaient et plus tu sentais que tu les perdaient, qu'ils te filaient entre les doigts. Tu les aimaient trop pour les laisser grandir. Tu aimais trop tes enfants, les enfants.
| ☞ PATRONYME : Ó Cearnaigh, de l'irlandais bien difficile pour les langues états-uniennes. Immigrés, évadés, perdus, est-ce que ça véritablement aujourd'hui là où tu en es rendu ? ☞ PRENOM : Siofra qui signifie l'enfant précoce. Celle qui aimait avant les autres, celle qui voulait devenir maman avant que cela ne lui soit permis. Celle qui a voulu grandir trop vite et qui quelques part est restée une gosse. Dubh est ton deuxième prénom, signifiant sombre, sombre comme cette part d'ombre que tu caches, encore et encore, jouant l'innocente. Bronach est le dernier qu'on t'as donné, signifiant la douleur, cette que t'as mère a portée, mais celle que tu as toi-même porté, l'acceptant comme acte de survie. ☞ DATE & LIEU DE NAISSANCE : Tu es née à Collinstown, en Irlande. Tu y es restée toute ton enfance. Tu ne veux plus y retourner, c'est là-bas que se cache tes démons, ton démon, peut-être même pas encore mort. C'était le 23 décembre 1923 que commença ton enfer. ☞ AGE : Tu es vieille, tu te le dis chaque jour en te regardant dans le miroir. Vingt-sept ans, vingt-ans de pêchés. Ta jeunesse t'habite encore, mais pour combien de temps. Tu n'es plus une enfant, tu n'es plus pure ni naïve. Tu ne l'es plus depuis longtemps. ☞ ORIGINES & NATIONALITE : Tu es irlandaise de naissance, américaine par choix de l'oublier. Ton mariage t'as naturalisée américaine et même s'il n'en reste plus grand chose, tu es malgré tout une américaine. ☞ ETUDES/METIER : Tu étais femme à la maison avant, sans éducation, sans rien. Maintenant tu n'es qu'une folle, tu n'es plus une femme et encore moins à la maison. ☞ ORIENTATION SEXUELLE : Le sexe à peu d'importance pour toi. Que ce soit fille ou garçons, tout est dans l'âge, dans l’innocence encore présente dans chaque parcelles d'eux. ☞ STATUT : Officiellement encore mariée, mais probablement que depuis ton internement, on a redonner le droit à ton mari de se retrouver une autre épouse. Tu as eut quelques visites, mais plus maintenant. ☞ SITUATION FAMILIALE : Tu étais mariée et tu avais deux enfants, maintenant tu n'as plus tout cela. Tu es seule et c'est probablement mieux comme ça. ☞ NEVROSE : Trouble de la personnalité sadique (ayant mené au cannibalisme en de nombreuses occasions) et éphébophilie. ☞ PERSONNAGE DE CONTE : La sorcière dans Hansel et Gretel ☞ GROUPE : Disturbia ☞ CARACTERE DE CHIEN : Accueillante - Apaisante - Charismatique - Compétitive - Attachante - Minutieuse - Intuitive - Maternelle - Passionnée - Contrôlante - Autoritaire - Cachotière - Dominatrice - Immature - Sadique - Cannibale ☞ CREATEURS : tumblr behind the mirror PRÉNOM/SURNOM ; WE ARE ANONYMUS ! okay, okay. Moi c'est alexee connue aussi sous le nom d'acidwolf. AGE ; Assez pour boire légalement aux États-Unis. Encore faudrait-il que j'y aille. SEXE ; Le plus souvent possible. Merci. PS. je suis une femelle. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? ; Alice m'as entraîné dans son petit bout d'enfer et je vais la baiser sur la table où on prend le thé. ET COMMENT TU LE TROUVES? ; PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? ; J'aimerais mieux que non... QU'ON LUI COUPE LA TETE ; Deborah Ann Woll CODE RÈGLEMENT ; OK par Rozar AUTRE CHOSE A AJOUTER? ; VIE.
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Dernière édition par Siofra D. Ó Cearnaigh le Ven 31 Oct - 5:39, édité 13 fois |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mar 28 Oct - 16:21 | |
| ☞ chapter one ☜ I want to fuck you like a dog. I'll take you home and make you like it. ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤
so innocent she could have killed you without noticing it. Adorable, tout le monde s'entendait pour le dire. Depuis ta naissance avec tes grands yeux bleus et tes cheveux de feu, ton caractère tendre, tes mains cajoleuses, ton affection débordante. Une jeune femme si candide que s'en était touchant. Personne n'osait te faire du mal ou encore te faire de la peine et même, tu ne comprenais pas toi-même le poison qu'on infiltrait en à l'intérieur de toi alors que tu venais tout juste d'atteindre tes huit ans. Il y avait cet oncle, ce gentil oncle qui s'occupait souvent de toi. Parce qu'à un moment, ton père travaillait et ta mère devait s'occuper de son propre-père qui se mourrait lentement mais surement sur un lit. Elle s'occupait encore impeccablement de toi, mais elle en venait épuisée. Ton charmant oncle avait donc proposé de te garder un week-end sur deux. Tu en étais ravie, parce que tu adorais ton oncle et que lui, s'ennuyait à mourir depuis la mort de sa femme qui l'avait laissée sans enfants. Chaque vendredi soir, tu faisais ta valise avant de sauter sur la route avec ton papa pour traverser à pieds les dix minutes vous séparant de chez ton oncle Adnae, vivant dans une jolie petite forêt qui avalait sa maison. Ton père embrassait ton front et ton oncle posait sa main sur ton épaule alors qu'il envoyait la main à ton père, la porte se refermant sur vous. Ce n'était pas la première fois que tu visitais ton oncle. Tu t'y sentais comme chez-toi et il voulait que ce soit ainsi. La porte claquait alors que ton oncle se tournait vers toi avec un sourire. « Bon, allons porter tes bagages jusqu'à ta chambre. Vite, sinon tonton va se transformer en monstre et te dévorer ! » Tu rigolais à gorge déployée en le regardant. Il s'avançait vers toi, montrant les dents alors que tu reculais en criant, faussement effrayée. Tu partais en courant vers les escaliers tandis qu'il venait à ta suite, ta valise dans une main, faisant de bruits d'animal derrière toi. En haut des escaliers, il t'attrapait avec un bras tandis que tu faisais mine de te débattre. Toujours en avançant vers la chambre. Il enfouissait son nez dans ton cou comme s'il voulait t'y mordre. Ça te chatouillait alors tes cris se mélangeaient à des rires jusqu'à ce qu'il te laisse tomber dans ton lit dans d'autres éclats de rire. Il posait la valise sur le sol, venant te rejoindre sur le lit où tu sautillais gentiment en lui offrant de grands sourires. « Est-ce que tu as faim, mon amour ? » Tu hochais vigoureusement de la tête en signe négatif. Tu avais bien mangé ce soir et ton ventre était remplis à craquer, tu ne pouvais plus rien avaler. « Tu veux dormir alors ? » Demandait-il alors que ta réponse vient immédiatement, mélangée à une moue boudeuse. « NOOOON ! » Ton oncle rigolais devant ton adorable minois. Tant pis même s'il était relativement tard pour une petite fille comme toi. Si tu ne voulais pas dormir, il n'allait certainement pas t'y obliger. Il voulait profiter du peu de temps qu'il passait avec toi. « Tu veux jouer alors ? » Demandait-il avec un sourire complice tandis que tu retrouvais ton magnifique sourire. Sautillant dans le lit alors que tu t'exclamais : « OUIIIIIIIIII ! » Dans des éclats de rire qui provoquait les siens. Tu aimais quand ton oncle souriait, tu aimais quand les adultes te souriait et cet amour que tu avais l'impression de te sentir aimée. « Bon, d'accord, d'accord. Mais avant viens donner un bisou à ton oncle préféré. » Quémandait-il, tandis que tu ne te faisais même pas prier. Te levant pour aller vers lui et qu'il te prenne dans ses bras, sur ses genoux. Tu approchais tes lèvres de sa joue pour y déposer un bisou. Immédiatement, tes lèvres te piquaient. Tu n'aimais pas donner de bisous aux monsieur, même à ton papa. Leurs barbes, rasées ou longues ça piquait, tu n'aimais pas ça. Tu préférais plaquer des bisous sur le garçons de ton âge, ceux qui avaient la peau douce. Lisse. Tu te perdais dans la contemplation du visage de ton oncle. Il était vieux, ça faisait peur. Il avait des rides partout, surtout dans son front, au coin des yeux et des lèvres aussi. Elles étaient encore plus apparentes quand il souriait. Tu ne trouvais pas vraiment cela beau, mais on t'avais appris à ne pas aimer en fonction des apparences des gens. Son doigt remontait jusqu'à sa propre joue, à une endroit différent d'où tu venais de déposer un baiser. « Non, ici Sio » Gamine naïve, tu déposais un autre bisou sur sa joue. Il recommençais, pointant cette fois le coin de sa lèvre. Tu y déposais un baiser sans même te poser de questions. Il recommençait encore le manège, pointant le début de sa lèvre que tu embrassais avant qu'il ne prenne ton visage minuscule dans ses grosses mains et ne plaque ses lèvres directement contre les tiennes. Tu sentais sa langue retrouver doucement tes lèvres. Entrer dans ta bouche dans un contact brûlant. Ce n'était pas particulièrement désagréable, ce qui te dérangeait surtout c'était sa peau piquant la tienne. Lorsqu'il te relâchait, t'en laissant les lèvres trempées, tu frottais doucement tes joues, quelque peu gênée sans trop comprendre pourquoi ton visage était enflammé de la sorte. « Ça pique la barbe.» Rigolais-tu toujours avec cette étrange gêne. Il te souriait tandis que toi tu n'étais pas certaine d'être bien. Tu n'avais pas envie que tes joues te piquent encore. « Oh pardon, ma puce. On joue maintenant ? » Demandait-il tandis que tu semblais plus hésitante. « D'accord... » Il continuait de sourire comme le grand méchant loup, toi tu n'y comprenais rien, tentant de sourire du mieux que tu pouvais. « C'est un jeu qui se joue sans pantalon. C'est un jeu de grand, un jeu secret. Il ne faut en parler a personne. T'es une grande fille, pas vrai Sio ? Il faut que tu me promettes de garder le secret, sinon on ne pourra pas jouer et on devra aller dormir. » Tu ne voulais absolument pas aller dormir, mais tu étais néanmoins suspicieuse. C'était un jeu don tu n'avais jamais entendu parler. « C'est un drôle de jeu... » Te plaignais-tu tandis qu'il avançait sa main pour caresser doucement ton visage. « C'est un jeu d'amour, c'est parce que je t'aime énormément, Sio. tu comprend ? » Docile, tu hoche de la tête tandis qu'il te prend pour te déposer à ses côtés. - 18 et + - âmes sensibles s'abstenir.:
Tu le regardes avec tes grands yeux alors qu'il déboucle sa ceinture, ouvre son pantalon et le laisse glisser au sol. Tu ris nerveusement. Tu es nerveuse, tu ne comprend pas alors qu'il retire la cravate rouge qu'il porte autour du cou. Il s'approche doucement de toi, avec ce sourire rassurant qui n'arrives pas à te faire sentir mieux. Il passe la cravate devant tes yeux, l'attachant derrière ta tête. Un autre rire nerveux s'échappe de ta poitrine. « Je ne vois rien... » Te plains-tu, soudain recluse dans ton monde d'aveugles. Tu entends son rire près de ton visage, tu le sens sur tes lèvres, il est tout près et tes autres sens se décuplent. « C'est le but du jeu. Il faut que tu devines ce que tu touches. » Dit-il alors qu'il prend ta main pour la poser sur quelque chose qui ne ressemble à rien de ce que tu connais. C'est dur et chaud, on dirait quelque chose qu'on peut manger, mais tu n'arrives pas à trouver. « Touches mieux. » Dit-il en guidant ta main de bas en haut de l'objet qui semble doucement s'humidifier. Tu restes muette pourtant, perdue, tu ne sais pas ce que c'est. « Alors ? » Insiste-t-il tandis que tu hausses tes épaules, que tu suis encore ses mouvements. « 0]]Quelque chose qui se mange ?[/b] » Il rit doucement, sa réponse fusant presque par la suite, un ordre plus qu'une proposition. « Goûtes-y. Mais tu ne dois pas le mordre.. » Tu hésites un instant, puis tu te penches, tes lèvres se collant au drôle d'objet que tu goûtes du bout des lèvres, passant rapidement ta langue dessus pour te reculer, mais sa main retrouver l'arrière ta tête. « Encore... tu n'y as pas vraiment goûté. » Ta bouche retrouve l'objet inconnu sous la pulsion de la main de ton oncle. Tu n'as pas le choix d'y goûter. Il pousse sur ta tête et le truc s'enfonce dans ta bouche minuscule, flirtant dangereusement avec ta petite gorge. Tu te sens étouffer pendant un moment avant qu'il n'arrêtes. « Tu aimes ça ? » Demandes-tu alors que tu hausses les épaules, pauvres innocente en essuyant ta bouche. « Je préfères les sucettes sucrées, moi. » Te plains-tu doucement tandis que tu l'entends acquiescer. « Je saurais la prochaine fois, chérie. Maintenant, pour continuer le jeu, il faut que tu retires tous tes vêtements, comme si on allait prendre un bain. » Tu fronces tes sourcils sans t'exécuter, questionnant d'abord. « On vas prendre un bain ? » Il rit encore. Décidément, tu es bien drôle, certainement amusante pour ton oncle. « Presque, mais il n'y a pas d'eau. Allez, allez jeune fille. » Dit-il alors que ses mains se glissent sous ta robe pour venir te chatouiller tandis qu'il s'occupe de te dévêtir. Que ta petite peau tremble et qu'il viens te serrer contre sa peau pour te réchauffer, caressant tes cheveux, ton dos, embrassant ta joue, ton cou, ton torse. Il t'asseyait doucement sur ses genoux, près de l'objet inconnu. « Maintenant on va faire le petit cheval. D'accord. Tu te souviens ? Sauf que ça vas faire un peu mal, mais tu t'amusera beaucoup après, tu verras. D'accord ? » Tu te contentes d'hocher la tête en signe de oui. Tu sens ses doigts glisser sur toi dans une caresse plutôt agréable, tu rigoles dans toute ta nervosité, mais ton rire s'étouffe rapidement alors que tu sens cet objet non-identifié entrer en toi. Ça fait mal tu t'en plains dans des pleurnichements. Il te serres contre lui alors que ça pousse plus loin en toi, que ça te brise quelque chose. Il te murmures des mots doux pour te calmer et toi tu t'envoles ailleurs. Tu t'imagines simplement marchant sur un sentier dans les bois, un sentier d'automne, même si au bout du chemin, il n'y a que du noir. Il te balances doucement contre ses genoux, te fait rebondir contre cet objet qui se mange que tu n'as toujours pas identifié. Il finis par aller plus rapidement, à te serrer plus fort jusqu'à ce que tu sente une explosion qui se propulse en toi, qui te donnes l'envie brève de vomir parce que tu ne sais pas ce que c'est. Il t'embrasses doucement alors qu'il retire la chose de dans toi. Il te fais doucement te coucher en caressant tes cheveux, te retirant la cravate cachant tes yeux. Tu n'oses même pas le regarder, tu n'oses pas lui dire que tu n'aimes pas son jeu, que tu ne veux plus jouer. Il se relève pour aller fermer la lumière, puis il revient dormir avec toi, en te serrant contre lui. Et tu es si troublée que tu ne te plains même pas de devoir être au lit maintenant. La prochaine fois, vous alliez jouer sans cravates. Chaque fois, il te promettais que ça irait mieux, que ce serait plus agréable. Et toi dans la naïveté de tes huit ans, tu y croyais férocement.
☞ chapter two ☜ Whoopin' the house down, show him who's the leader. bring ya' baby down, down, go cheerleader. ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤
If I can't have you baby, no one else in this world can. La sale gosse. Elle avait passé toute la journée à t'énerver. Décidément, les journées de congé de ton adolescente n'était que tes propres journée de cauchemar. Heureusement, ton fils était bien plus autonome. Il sortait toute la journée. Revenait avec quelques égratignures que tu guérissais en lui donnant un biscuit fraîchement sortis du four. Parce que, généralement, c'était de cette façon que tu passais tes journées. À faire les corvées de la maison, bien, vite, rapidement pour ensuite te mettre au fourneaux. Rien de mieux qu'une odeur de nourriture embaumant partout. Par les enfants du voisins venaient même, attiré par l'odeur. Ils savaient bien ce que ça voulait dire : Madame Ó Cearnaigh avait fait de la pâtisserie. Peu importe ce que c'était, ce serait délicieux et ils en voulaient un morceau. Tu les laissaient entrer, s’asseoir à la table avec un dessert et un verre de lait. Tout le monde aimait cette femme généreuse, tendre et attentionnée. Tout le monde sauf sa propre fille. Elle se dévouait à rendre la vie de sa mère impossible, avec un plaisir presque malsain, un sourire qui donnait froid dans le dos. Chaque fois, tu te disais qu'elle avait atteint le sommet, qu'elle ne pourrait jamais faire pire, mais chaque fois, elle redoublait d'ardeur, te mettais plus en colère, te rendais plus sorcière que tu n'avais jamais voulu l'être. Personne ne devait savoir que votre famille n'était pas aussi rose et parfaite que vous le prétendiez. C'était votre secret, celui que vous apporteriez tous dans vos tombes. Parce que oui, si tes enfants t'obéissaient bien, c'était parce que le contraire leur coûtait cher. Ta main était dure, si dure qu'on aurait cru qu'elle contentait du plomb pour frapper si fort ses vilains enfants. Ils connaissaient très bien la fessée, ou encore les coups dans le dos, sur le jambes, le ventre, là où personne ne voyait, personne ne pouvait savoir. Ton maris ne posait pas de questions. C'était même mieux que ce soit tu qui donnes les corrections, elles auraient étés probablement pire par cette main plus grande, assez pour marquer le dos de long en large. Le dos de cette adolescente chétive et idiote.
Tu ne croyais jamais qu'elle irait aussi loin aujourd'hui. Tu dressais la liste de tout ce qu'elle avait déjà fait. Brisé l'immense pot de fleur au salon par accident, verser les poissons de son frère dans la cuvette, brisé la radio et se prélasser à moitié nue sur la pelouse de l'avant de la maison. Tu lui souhaitais d'être abusée, comme toi, par un vieil oncle. Même si à son âge, elle adorerait probablement cela. C'était peut-être l'une des raisons pourquoi elle t’horripilais autant. Elle était des plus sexuelle, sale, souillée, comme si tous les hommes du quartier l'avait déjà goûtée, elle et son regard lubrique et qu'elle en avait redemandé. Au moins, alors que tu frottais la terre infiltrée dans le tapis blanc du salon, elle n'était pu à exposer ses bouts de seins pas encore formés sur votre devanture. Tu ne te doutais pourtant pas de ce qu'elle faisait à cet instant, tu avais presque réussis à l'oublier, à être apaisée. Et lorsque tu retournais à la cuisine, tout semblait être parfait, tu sortais ta première tarte du four pour en enfourner une autre. Une à la fois. À la fin de l'avant-midi, tu avais terminé et les adolescents voisins se montraient avec leurs bras trop longs, leurs corps frêles et fragile. Tu les embrassaient tout les deux, sur le coin de la bouche, caressant successivement leurs cheveux alors que tu les essayaient à ta table. Tu prenais la tarte qui venait tout juste de sortir du four, la découpant hâtivement pour leur en servie chacun une immense pointe. Tu ne remarquais rien, trop occupée à lancer des regards aux deux adolescents. Pourtant, ceux-ci perdaient leurs regards complices, brisant leurs voix dans des cris. Les pointes de tarte bougeaient, frétillaient encore doucement, à cause des vers de terre se trouvant à l'intérieur. Ils dégagèrent alors que ton cris résonnaient. Tu entendais la gamine rire au salon, elle t'attendait, prête à recevoir sa punition, comme une sale petite vicieuse. Pourtant il était question de plus qu'un blague. Tes tartes, tes adolescents, ta réputation, ta nourriture. La fiole de la folie chancelait dans ta cervelle alors que tu filais vers le salon. Fâchée, frustrée, mais aussi excitée d'avoir une raison de lui faire du mal à cette petite masochiste. Ta main frappait brusquement sur son visage, un endroit encore inviolé, qui lui laisserait certainement une marque. « Allez, va s'y sale garce. Frappe-moi encore, tout le monde saura comme ça... » Ta main claquait encore l'air, plus fort. Puis encore, encore, plus brusquement. Tu frappais son visage, jusqu'à ce qu'elle ne s'amuse plus, jusqu'à ce qu'elle pleure et tombe contre le sol. Tu te relevais, replaçant tes cheveux, réajustant ton tablier. Tu avais péter un plomb, mais tu ne t'empressais pourtant pas, tu faisais durer le plaisir, le dernier que tu aurais. Tu attrapais sa crinière blonde pour la tirer jusqu'à la cuisine. Tu l'asseyais et l'attachait à une chaise, prenant les trois tartes cuites à tes côtés, t'asseyant sur la table. Tu piquais la tarte aux vers de terre avec ta fourchette, l'obligeant à avaler, à gaver son gâchis de force. Tu la gavais jusqu'à ce qu'elle gerbe. « Oh non, il n'est pas bon ton dessert ma Gareich ? Il va falloir le manger quand même, c'est du gaspillage. » Rigolais-tu alors que tu prenais une cuillère pour lui faire avaler ce qu'elle venait de répulser par le dégoût le plus total. Tu laissais échapper de petits rire, la faisant vomir encore et encore, pour ton bon plaisir. Tu voulais qu'elle vomisse ses intestins. Tu ne serais pas satisfaite sinon. Puis le sang arriva. Le sang sortant de sa gorge dans l'immense dégâts de ta cuisine. Le sang t'excitant, t'encourageant à continuer jusqu'à ce que sa peau devienne pâle, froide, qu'elle ne soit plus capable de vomir ni d'avaler. Jusqu’à ce qu'elle soit morte. Un immense rire s’emparait de toi alors que tu glissais ta main sur sa poitrine, que tu ne sentais plus son coeur battre. « Oh, Gareich. Pardon mon amour, mais tu n'étais pas sage. Maintenant tu sera sage, tu sera sage pour toujours. » L'opération nettoyage. Tu récurais tout, nettoyant le corps invitant de ta fille morte. Elle avait l'air si innocente ainsi, si appétissante. Tu la déposais sur la table de ta cuisine maintenant propre, laissant tes mains glisser sur son corps mort comme tu n'aurais pu le faire quand elle était en vie. Elle était bien meilleure ainsi, tu étais fière de toi dans toute ta folie. Fière jusqu'à ce que ton fils entre par la porte de la cuisine, te découvrant à caresser le corps nu de sa soeur inerte. « Maman ? » Appelait-il alors que tu contournais l'autre idiote pour aller retrouver ton fils, le serrer dans tes bras, lui raconter des mensonges. Pourtant, lorsque tu allais le serrer contre ta poitrine pour le faire taire, il eut un violent mouvement vers l'arrière, te repoussant. Tu fus prise d'une rage que tu ne contrôlais pas. Tu attrapais un couteau à porté de la main et tu le plantais dans ton fils, encore, encore, encore. Du sang giclait, tombant sur tes lèvres que tu léchais, qui t'invitais alors que tu commençais à le morde encore, encore, encore. Jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'une flaque de chaire sanglante. Un autre dégât. Tu ne paniquais même pas en te relevant. Tu prenais le corps de ta fille pour le mettre avec le sien dans la marre de sang, puis tu les tranchaient, tous les deux. Tu en faisais des petits morceau, puis tu te mettais aux fourneaux, préparant un festin de roi pour ton mari, avant de tout nettoyer bien sur.
Lorsque ton chéri entrait à la maison, elle brillait. Une vinyle tournait tranquillement et une table bien remplis l'attendait, avec du vin rouge, le tout éclairé par des chandelles dans le noir de son entré tardive. Il allait embrasser sa femme assise à l'autre bout de la table, retirant son chapeau avant d'aller s'asseoir à sa place devant son plat déjà servis. Il dévora la viande tendre qu'il y avait dans son assiette, ajoutant plus de sauce foncée. Dévorant les pommes de terre pilés, probablement mélangées à des carottes. Il se régalait, dévorant son premier service, même s'il y en avait d'autres devant lui. Il allait se servir autre chose pendant que sa femme mangeait tranquillement, savourant. « Les enfants sont chez tes parents ? » Tu hochais négativement de la tête. Il fronçait ses sourcils pour attraper sa coupe de vin et la portée à ses lèvres. Il recrachait sa gorgée à cause du goût ferreux. « Chérie ? Où sont les enfants ? » Tu rigolais, d'un rire dingue alors que tu buvais ta propre coupe du sang de vos enfants. Leur laissant une investigation aussi délicieuse.
☞ chapter three ☜ Well you know that I’m a wicked chick and I was born with a jealous mind. ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤
you better run for your life, little boy. Il n'avait rien à voir avec les autres enfants qui étaient passés par ta maison en pain d'épices. Rien à voir avec ce petite morveux d'Hansel qui s'était enfuis avec sa détestable Gretelle de soeur. Tu avais regretté ses deux mômes, tu aurais du les tuer plus tôt, ne pas vouloir les engraisser. Maintenant ils laissaient entendre à tout le monde que tu étais une vilaine sorcière. Lui pourtant, ça n'avait pas semblé lui faire peur. Probablement trop gourmand pour résister à la bonne odeur de sucre qui enveloppait ta cabane en bonbon et la forêt qui l'entourait. Il n'avait pas simplement glissé sa main pour prendre un biscuit comme tous les enfants, jusqu'à ce que un plat vide attire ton attention, que tu sortes retrouver le gamin pour lui offrir plus. Lui il était arrivé comme un courant d'air trop chaud. Tu ne l'avais pas vu, tu ne l'avais pas entendue. Penchée dans ta petite robe rouge pour mettre d'autres cupcakes au fourneaux alors que tu reprenais ton rouleau à pâte, prête à t'attaquer aux tartes à la framboise et la cervelle. Pourtant la chaleur dans ton dos s’amplifiait, des dents se refermant contre ta gorge alors que tu paniquais. Tu te retournais pour frapper le gosse avec le rouleau en bois, atteignant son bras sans qu'il ne s'en échappe une grande plainte. Son regard taquin et naïf te happa sauvagement, te calma furieusement. Plutôt que de lui planter un couteau dans le ventre et le rouler dans la farine, tu rigolais doucement, pour faire briller encore d'avantage ses yeux. Charmée par ce gamin unique alors que, caressant sa tignasse blonde, tu l'invitais à prendre place à ta table. Lui servant maintes pâtisseries. Tu aurais dû le garder, mais tu n'arrivais pas à trouver l'appétit pour gâcher un aussi beau bout de gamin. Tu le laissais partir une fois la nuit venue, a regrets.
Le lendemain, c'est avec très peu de surprise qu'on cognait à ta porte. Sous une pluie battante, tenant un bouquet de roses rouges dans se mains. Pourtant, tu risquais le pire pour lui. Tu lui avais fait promettre qu'il ne les avaient pas volés à la Reine de Coeur. Il avait promis, puis tu l'avais laissé entré. Tu l'avais laissé entré, le séchant, lui donnant des vêtements propre avant de ne lui servir un bon repas chaud. Cette nuit là, tu l'invitais à rester dormir, mais cette nuit ne vient jamais. Il était passé, le temps à Wonderland. Pourtant lui, ce rêve éveillé, ce gamin adorable, tu devais le retrouver à l'asile. Tu ne pouvais difficilement te passer de sa présence, de son regard affectueux, de sa peau douce. L'adolescent parfait pour toi, celui qui pouvait mettre ses mains sur toi encore, encore, encore et encore.
Dernière édition par Siofra D. Ó Cearnaigh le Dim 2 Nov - 8:30, édité 19 fois |
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C'est pour mieux te manger mon enfant
Lucian F. Z. Bösewolf follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mar 28 Oct - 16:47 | |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mar 28 Oct - 16:54 | |
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Kaedan Hamilton follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mar 28 Oct - 17:32 | |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mar 28 Oct - 17:36 | |
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C'est pour mieux te manger mon enfant
Lucian F. Z. Bösewolf follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mar 28 Oct - 17:44 | |
| - Siofra D. Ó Cearnaigh a écrit:
- NAN MAIS SÉRIEUX ? SÉRIEUX ? TU CROIS QUE JE VAIS ME CONTENTER D'UN VIOL COMME ÇA ? TU CROIS QUE TU PEUX T'EN TIRER AUSSI FACILEMENT.
Viole-moi dans les bois, encore une fois, que je dise que j'ai pas aimé ça...
Primo vas nous falloir un bon million de liens. Ensuite voilà, vous êtes cruelles, comment j'aurais pu résister ? Et puis réserver-moi un rp bien au chaud. Et puis je vais tenter de faire une fiche canon (j'ai bien dit tenté ) Je t'aime sale gosse. Et oui NON MAIS JTE VIOLE PARTOUT CA TE VA ?! Jte baise près de la cheminée, dans le lit, dans la cuisine, en sautant en parachute, au sommet d'une montagne, dans le désert d'Ali Baba, dans un mausolée au morts (glauque je sais ), au sol, contre un mur, dans l'espace, sur la terre meuble dans la forêt de Blackwood Mieux ? Oui va nous falloir des liens Et un rp JUSTEMENT T'ES PAS SENSEE RESISTER Et ta clique non plus d'ailleurs Sur ce Jte laisse faire ta fichette |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mer 29 Oct - 5:40 | |
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Seven D.S. Schneewittchen follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Jeu 30 Oct - 16:06 | |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 2 Nov - 8:36 | |
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Diggory K. Nielsen follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 2 Nov - 8:41 | |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 2 Nov - 8:47 | |
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Jan Jr. Shepherd follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 2 Nov - 12:17 | |
| BIENVENUUUUUE Comment je suis trop passée à côté de ton arrivée quoi je savais pas que c'était toi mais c'est trop bien de retrouver des anciens de FYS ici, la crème de la crème En tout cas, excellent choix de vava et de conte et faudra qu'on se trouve un lien, obligé ! |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 2 Nov - 16:56 | |
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Nahomé "Naïm" Sullivan follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Lun 3 Nov - 11:51 | |
| Vile sorcière qui se fait outrageusement désirer Fini donc ta fiche, que je puisse me venger de toutes les saloperies que tu m'as fait J'ai lu comme promis ta fiche, j'ai pas pu attendre qu'elle soit terminée ! Je veux la suite ! Je te souhaite donc bienvenue (même si t'es arrivée avant moi) mais c'est pour la forme. |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Lun 3 Nov - 13:42 | |
| Mais elle est terminée petit Parce que malheureusement, si j'y ajoute un quatrième chapitre, je ne crois pas que je pourrais poster la fiche J'avais pas prévu du tout faire aussi long, je suis probablement à quelques mots près de la limite permise de mots dans un post. Je te réserve donc ta torture personnelle en Rp mon petit sucre d'orge. |
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Nahomé "Naïm" Sullivan follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Lun 3 Nov - 20:08 | |
| Boulette que je suis je n'avais pas vu la suite Du coup, j'ai lu et j'aime, j'aime, j'aime ! - Citation :
- Rien à voir avec ce petite morveux d'Hansel qui s'était enfuis avec sa détestable Gretelle de soeur. Tu avais regretté ses deux mômes, tu aurais du les tuer plus tôt, ne pas vouloir les engraisser. Maintenant ils laissaient entendre à tout le monde que tu étais une vilaine sorcière.
Pff, on est les meilleurs, allô quoi ! En plus on est pas du genre à colporter. |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Mar 4 Nov - 5:30 | |
| Mais trop, vous êtes des sales gosses, tsssk. |
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Diggory K. Nielsen follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 9 Nov - 0:33 | |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 9 Nov - 0:37 | |
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Diggory K. Nielsen follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 9 Nov - 0:42 | |
| Baaaaah tu sais ce qu'on dit... (Maintenant que tu connais ma gueule de quand tu seras validé, faut me retrouver ! Et ce serait gentil de changer ma couche quand t'y seras ok ?) |
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Siofra D. Ó Cearnaigh follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant Dim 9 Nov - 0:50 | |
| Ouais mais, je ne pourrais pas vraiment marcher, moi je serais comme ça. mais je t'aime quand même mon bébé Bates. |
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Contenu sponsorisé follow the cat to wonderland ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ | Sujet: Re: en souvenir de ton visage - la douleur de l'enfant | |
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